La Cour mondiale des gestionnaires mondiaux sur les combustibles fossiles

Topshot-Netherlands-un-ICJ-Klima

La Cour internationale de justice (ICJ) de La Haye s’est enfoncée la semaine dernière dans le débat sur l’énergie / climat. Grâce à un avis consultatif unanime émis dans le cadre d’une plainte déposée par la nation Vanuatu, la CIJ a abandonné que les actions du gouvernement qui stimulent le changement climatique sont illégales et que les États sont légalement obligés à la fois de réduire leurs émissions et de compenser les nations qui sont en danger des effets du changement climatique.

Vanuatu, une petite nation insulaire du Pacifique, a averti que toute sa zone terrestre pourrait être avalée par la hausse prédite de la mer. Dans un accord avec l’attitude de Vanuatus, la décision écrite du président de la CIJ Yuji Isawawa a déclaré que le changement climatique est une “menace urgente et existentielle des proportions planétaires”.

La décision ICJ de balayage contient de grandes conséquences pour l’avenir de l’industrie des combustibles fossiles et des gaz à effet de serre (GES) qu’il produit. Le plus important “a confirmé le tribunal que le fait de ne pas prendre de mesures appropriés pour protéger le système climatique contre les gaz à effet de serre – y compris via la production de combustibles fossiles, la consommation, la licence ou les subventions – peut constituer un acte répréhensible international (par. 427) (par. 427). (Source).

Alors que des pays comme les États-Unis qui ne sont pas des membres de la CIJ sont susceptibles d’ignorer ce qui n’est qu’un avis consultatif, même pour les membres de la CIJ, on peut toujours s’attendre à ce que les militants climatiques essaient d’utiliser cette déclaration aussi radicalement que possible. En fait, il n’est pas hors de question de prévoir que les militants demanderont des mandats d’arrêt internationaux pour les administrateurs des sociétés de combustibles fossiles, faisant référence à l’opinion de la CIJ comme leur fondation malgré sa nature consultative.

Indépendamment de ce qui précède, le résultat probable de cette décision serait de répandre le chaos dans l’approvisionnement et l’accessibilité énergétiques du monde. Les sociétés énergétiques néerlandaises telles que Shell et les sociétés énergétiques britanniques telles que BP à l’avenir seront-elles autorisées à continuer de fonctionner? Si oui, sous quelles restrictions futures? Étant donné que les énergies renouvelables telles que le soleil, le vent et la géothermie ne constituent qu’une petite partie de l’approvisionnement en énergie mondial, cette opinion fait référence aux pays pauvres à la pauvreté éternelle car ils auront désormais une sécurité énergétique presque garantie lorsqu’il disparaîtra à ce jour, les sources d’énergie conventionnelles (IE fossiles) disparaissent?

En interne, certaines nations se retrouvent déjà battues dans deux directions. Ce ne sera nulle part au Canada, où les provinces occidentales menacent la «séparation» en relation avec les problèmes énergétiques, mais le nouveau Premier ministre Marc Carney a atténué pour permettre au développement des combustibles fossiles de continuer à se produire. (Source). Cette décision met potentiellement M. Carney dans un écart juridique encore plus profond à l’international, car il peut être en mesure de déchirer sa nation ou de faire face à des affirmations selon lesquelles il viole intentionnellement le droit international. (Source).

Bien que la décision de la CIJ semble autrement louable à ceux qui affirment que leur seul objectif est de sauver la planète, elle met néanmoins l’accent sur la relation troublée entre le droit et la science qui imprègne la question du changement climatique en général et la politique énergétique en particulier. En essayant de dissuader ou d’éliminer les combustibles fossiles, la Cour mondiale du monde est en fait de forcer le développement économique international futur pour s’appuyer sur des énergies renouvelables intermittentes à un moment où la science n’est tout simplement pas là, pourtant, pour ces seules sources, pour gérer la future économie mondiale. Le résultat peut être une catastrophe économique et environnementale dans une grande partie du monde développé, car les habitants supprimés par leur source d’énergie la plus fiable n’ont d’autre choix que de recourir à des choses comme la déforestation et d’autres méthodes destructrices environnementales pour fournir l’énergie dont ils ont besoin pour survivre.

Pour la communauté environnementale internationale, la décision de la CIJ dans la semaine dernière peut s’avérer être l’exemple ultime de “Faites attention à ce que vous voulez, vous pouvez simplement l’obtenir”.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *