Strong FTSE, Strong Royaume-Uni? Pas nécessairement: la newsletter British Exchange de CNBC

Foodsie n’a dépassé l’indice de référence américain que deux fois plus d’un an – en 2016 et 2022 – depuis le déclenchement de la crise financière mondiale il y a 18 ans. Il reflète non seulement la dynamique et le potentiel de croissance des constituants de S&P, principalement le secteur technologique, mais aussi la pondération excessive de la côte dans ce qui est perçu par de nombreux investisseurs tels que Stodgi, les secteurs défensifs, tels que les adhésifs économiques et grand public, et les secteurs très cycliques tels que l’énergie et les mines.

Même après la performance récente, il se situe toujours sur un prix / bénéfice plusieurs juste au-dessus de sa moyenne à long terme de 15, alors que S&P comme nous ne devons pas oublier, a également atteint un record de la semaine dernière les échanges de la semaine dernière sur un multiplication de près de 30.

Ces notes reflètent les facteurs très différents qui ont entraîné des rendements. Alors que l’évaluation des capitaux a entraîné un peu plus de deux tiers du rendement total de S&P au fil des ans, environ la moitié des rendements totaux de Footsie proviennent de dividendes.

Le lien des investisseurs britanniques aux dividendes, quelque chose qui est régulièrement démoli en tant que «tonte du coupon» dans les années, est prononcé.

Le solide de Foodsie, qui a montré la semaine dernière, était pour des raisons similaires qui poursuivent ailleurs: un soulagement des États-Unis, qui obtient un accord avec le Japon sur les coutumes et l’optimisme, qui peuvent être obtenues quelque chose de similaire avec l’Union européenne, bien que ce dernier se soit révélé décevant, du moins en ce qui concerne les marchés boursiers européens.

Mais il y a eu d’autres facteurs plus larges qui ont également été joués en 2025.

Le lourdeur de Footsie contre les actions défensives a bien joué cette année alors que les investisseurs recherchent un abri de la volatilité induite par Trump. Il y a aussi beaucoup de preuves anecdotiques qu’il a bénéficié de certains investisseurs qui ont pris leur argent en dehors des États-Unis – quelque chose qui était particulièrement évident au cours des quatre premiers mois de l’année et a résumé dans l’expression qui est apparue pour la première fois dans le Wall Street Journal le 19 mai, “ ABUSA (partout mais américain) échange ”.

Et il y a eu des augmentations importantes pour les secteurs individuels, en particulier la défense, à la suite des obligations d’un certain nombre de gouvernements occidentaux d’augmenter les dépenses de défense.

Rolls-RoyceLe fabricant du moteur d’aviation, qui a également une entreprise de défense importante, a vu ses actions augmenter de 75% jusqu’à présent cette année. Systèmes BAELe plus grand entrepreneur en défense britannique a augmenté de 59% depuis le début de l’année. Le couple est maintenant les sixième et 11e plus grandes sociétés de l’indice respectivement.

Des articles spécifiques Le jour de Foursie a frappé son dernier record la semaine dernière comprenait de fortes mises à jour de bénéfices à partir d’un certain nombre de composants, en particulier Enregistrerles produits ménagers; Howden Carperyle fournisseur de cuisine et de charpentier et Groupe bancaire de Lloyds.

Même BT, une déception en série, a fortement augmenté après que les résultats trimestriels ne se soient pas pires que prévu. Cette journée a également connu une diminution du facteur de livre qui profite souvent à l’indice parce que les composants Footsie reçoivent les quatre cinquièmes de leurs revenus à l’étranger, principalement en dollars américains et en euros.

Ce fut un point qui n’a pas été très apprécié par certains investisseurs jusqu’à ce que la Grande-Bretagne vote pour quitter l’UE le 23 juin 2016, et la livre a chuté de 10% contre Greenback en quelques heures.

À l’origine, Footsie est tombée fortement en ligne avec d’autres actifs britanniques. Alors que la réalisation intensifiait qu’une livre plus faible se traduit par des revenus plus élevés des revenus à l’étranger, l’indice s’est rassemblé et une semaine plus tard, elle a été env. 2,6% plus élevé qu’avant le référendum.

Et cela conduit à nouveau au fait le plus important qui est perdu contre de nombreux investisseurs britanniques communs. Footsie est souvent perçue comme un baromètre de la santé économique britannique et déterminée.

With globalization that did not yet start – this was of course before the fall of the Berlin Wall – even these financial service companies in Footsie largely domestic focused, including the insurance companies’ commercial union and general accident (now both part of the Aviva group), Prudential and Sun Life and lenders such as Royal Bank of Scotland, Midland Bank (now part of HSBC) and Barclais, which was pressured to its press on its Wholese, Midland, Midland Bank (Activités bancaires d’investissement, qui sont les plus associées à ces jours-ci.

À la naissance, Footsie ne contenait qu’une poignée d’entreprises qui pourraient être considérées comme une portée véritablement internationale, y compris un couple datant de l’ancien Empire britannique: Consolidated Gold Fields fondée en Afrique du Sud en 1887 par l’Impire impérialiste Cecil Rhodes et Harrisons & Crosfield, désormais spécialisés de la société de produits chimiques spécialisés.

Puis est venue la mondialisation et avec elle dans les années, un certain nombre d’introductions en bourse d’entreprises étrangères, en particulier d’Afrique du Sud, qui voulaient utiliser les marchés des capitaux plus fluides de Londres.

En étant si concentré sur le plan international, Footsie n’est pas différente de DAX-40, dont les membres proviennent des quatre cinquièmes de leurs gains en dehors de l’Allemagne ou du CAC-40 si les électeurs gagnent environ les trois quarts de leurs gains en dehors de la France.

Mais il ne devrait certainement pas être considéré comme un baromètre pour la santé du Royaume-Uni de l’entreprise – à quel point il se sent bien d’entre nous les jours où il atteint de nouveaux sommets.

– Ian King

Katie Murray, directrice financière de Natwest, discute des bénéfices de la British Bank, de son rachat d’actions et de l’image économique britannique actuelle.

Silvia Amaro de CNBC rapporte sur les dirigeants européens exprimant leurs frustrations avec les conditions de l’accord de négociation américain-UE et la pression qu’elle exercera sur l’économie du bloc.

Storm Uru, gestionnaire de fonds chez Liontrust Asset Management, discute des revenus technologiques récents et explique certains des comptoirs de l’entreprise aux sept magnifiques.

– Sophie Kiderlin